Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève, soit depuis 331 semaines sans interruption. La vigie consiste en une présence silencieuse qui a pour objectif de rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution. Nous avons ajouté à notre identité le nom d’Hippocrate en raison des règles éthiques qu’il a institué pour les praticiens de santé. En ce qui concerne la protection sanitaire des populations victimes des conséquences de l’industrie nucléaire, l’Organisation Mondiale de la Santé ignore ces règles. Les vigies sont [ lire la suite ]
Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève, soit depuis 327 semaines sans interruption. La vigie consiste en une présence silencieuse qui a pour objectif de rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution. Nous avons ajouté à notre identité le nom d’Hippocrate en raison des règles éthiques qu’il a institué pour les praticiens de santé. En ce qui concerne la protection sanitaire des populations victimes des conséquences de l’industrie nucléaire, l’Organisation Mondiale de la Santé ignore ces règles. Les vigies sont [ lire la suite ]
L’Agence France Presse (AFP) a publié le jeudi 04 juillet 2013, un communiqué à propos d’une enquête qui vient d’être réalisée en Corse sur les conséquences sanitaires du nuage de Tchernobyl : “La catastrophe nucléaire de Tchernobyl (1986) a provoqué une forte augmentation des maladies thyroïdiennes, dont des cancers, en Corse, l’une des régions françaises les plus exposées au nuage radioactif, selon une enquête indépendante italienne présentée jeudi à Ajaccio. Selon le document, le nombre de cancers de la thyroïde a augmenté de 28,29% chez les hommes en Corse, après le passage du nuage radioactif (pas de chiffre significatif chez [ lire la suite ]
Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève, soit depuis 322 semaines sans interruption. La vigie consiste en une présence silencieuse qui a pour objectif de rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution. Nous avons ajouté à notre identité le nom d’Hippocrate en raison des règles éthiques qu’il a institué pour les praticiens de santé. En ce qui concerne la protection sanitaire des populations victimes des conséquences de l’industrie nucléaire, l’Organisation Mondiale de la Santé ignore ces règles. Les vigies sont [ lire la suite ]
Le 27 mai, Anand Grover, rapporteur spécial du Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations unies, présentait à Genève les résultats de sa mission de novembre dernier à Fukushima. Une fois n’est pas coutume, les Nations unies ont fait leur travail : protéger. Ou, tout au moins, émettre la ferme intention de le faire. Voici les principales conclusions de ce rapport accablant pour le gouvernement japonais. Anand Grover prend acte de l’ampleur de la catastrophe : la quantité de césium relâchée suite à l’accident nucléaire de Fukushima est de l’ordre de 168 fois celle relâchée lors du bombardement atomique d’Hiroshima. [ lire la suite ]
Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève, soit depuis 318 semaines sans interruption. La vigie consiste en une présence silencieuse qui a pour objectif de rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution. Nous avons ajouté à notre identité le nom d’Hippocrate en raison des règles éthiques qu’il a institué pour les praticiens de santé. En ce qui concerne la protection sanitaire des populations victimes des conséquences de l’industrie nucléaire, l’Organisation Mondiale de la Santé ignore ces règles. Les vigies sont [ lire la suite ]
Les autorités vont rouvrir discrètement la zone interdite entourant la centrale nucléaire. Les réfugiés pourront retrouver leur domicile, à leurs risques et périls. Au lendemain de l’accident de Fukushima, le 12 mars 2011, les 11 500 habitants d’Okuma sont évacués. Comme les 65 000 habitants des huit autres communes situées à moins de vingt kilomètres de la centrale. Accueillis en premier lieu dans des gymnases et des abris de fortune – ces réfugiés ayant été, pour nombre d’entre eux, contaminés –, ils sont ensuite relogés dans des lotissements publics de logements dits « provisoires ». Et puis le provisoire [ lire la suite ]
Ils sont toujours plus de 3 000 « nettoyeurs » à se relayer sans cesse sur la centrale détruite de Fukushima. Deux ans après la catastrophe nucléaire, les polémiques n’en finissent pas sur les conditions de travail de ces liquidateurs qui, loin de s’améliorer, sont toujours plus alarmantes. Le 22 avril, l’Asia-Pacific Journal a publié une tribune de Sumi Hasegawa, chercheuse à l’université McGill de Montréal, qui met en évidence la pénibilité des taches confiées aux ouvriers de la centrale. Cette lettre ouverte est adressée au premier ministre et au ministre de la santé japonais, ainsi qu’à la direction de Tepco. La [ lire la suite ]
Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève, soit depuis 314 semaines sans interruption. La vigie consiste en une présence silencieuse qui a pour objectif de rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution. Nous avons ajouté à notre identité le nom d’Hippocrate en raison des règles éthiques qu’il a institué pour les praticiens de santé. En ce qui concerne la protection sanitaire des populations victimes des conséquences de l’industrie nucléaire, l’Organisation Mondiale de la Santé ignore ces règles. Les vigies sont [ lire la suite ]
A son retour du Japon, le rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à la santé a confirmé que le gouvernement nippon avait négligé la radioprotection de la population. Pendant ce temps, l’OMS continue à sous-estimer les problèmes sanitaires consécutifs à l’accident nucléaire. Eclairage. Deux ans après la catastrophe de Fukushima, l’OMS écoutera t-elle le rapporteur spécial des Nations Unies ? Des associations citoyennes japonaises ont fait état des violations du droit à la santé des populations à Fukushima dès les premiers mois qui ont suivi l’accident de la centrale nucléaire, survenu le 11 mars 2011. Cependant, l’Organisation mondiale de [ lire la suite ]