IndependentWHO – Santé et Nucléaire

«L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ne remplit pas sa mission de protection des populations victimes des contaminations radioactives.»

Liste des articles de la catégorie ‘Fukushima’

18 - février - 2015
Tokyo est contaminé et ne peut pas être habité, dit le Docteur

Les vingt-trois quartiers de Tokyo sont contaminés par les radiations de la fusion de Fukushima, pire qu’à Tchernobyl après l’accident, et les cellules sanguines des enfants de moins de 10 ans montrent des modifications inquiétantes ; on ne peut pas faire confiance à l’OMS, à l’AIEA et au gouvernement japonais.

29 - mars - 2014
Tepco et le gouvernement japonais censurent  la mort de travailleurs de Fukushima

Le 6 mars 2014, à Arnoldshain (Allemagne), une conférence internationale sur les « effets des catastrophes nucléaires sur l’environnement naturel et la santé humaine », a été co-organisée par la section allemande de l’ « International Physicians for Prevention of Nuclear War » (médecins internationaux pour la prévention contre la guerre nucléaire, IPPNW) et l’Eglise protestante de Hesse Nassau. Christof Lehmann de « nsnbc international » indique que lors de cette conférence, Mme Mako Oshidori, journaliste japonaise indépendante, a dit avoir découvert une note de TEPCO par laquelle l’opérateur de Fukushima Daiichi ordonne aux responsables de « couper court aux questions de Madame  [ lire la suite ]

19 - mars - 2014
Une victime de Fukushima devant l’OMSGenève 2014

  Naoto Matsumura, paysan japonais victime de la  catastrophe de Fukushima, a souhaité venir devant l’OMS ce mercredi 19 mars 2014, pour dire sa colère et son chagrin. En effet, l’Organisation Mondiale de la Santé qui dissimule les conséquences de la radioactivité a abandonné à leur sort les victimes de

6 - décembre - 2013
les dommages génétiques radio-induits

Vivre dans une zone à 20mSv par an comporte bien plus de risques que ce qu’affirment les gouvernements, l’AIEA et la presse. Le gouvernement japonais incite les gens, y compris les enfants et les femmes enceintes, à retourner vivre dans des zones contaminées où l’exposition aux radiations est de 20 milliSieverts par an. Dans une vidéo, Arnie Gundersen (ancien ingénieur nucléaire devenu lanceur d’alerte, travaillant pour Fairewinds) analyse les résultats des dernières études scientifiques réalisées au sujet de l’exposition aux faibles doses et présente une vidéo de Ian Goddard.

1 - décembre - 2013
Chris Busby R2

Une nouvelle étude sur les effets des petites quantités de retombées radioactives de Fukushima sur la santé des bébés nés en Californie montre un excès significatif d’hypothyroïdie causée par la contamination radioactive qui a voyagé sur 5 000 miles au-dessus du Pacifique. L’article sera publié la semaine prochaine dans la revue scientifique Open Journal of Pediatrics (1). L’hypothyroïdie congénitale est une maladie rare mais grave qui affecte normalement environ un enfant sur 2 000, et qui exige une intervention clinique – la croissance des enfants souffrant de cette maladie est affectée s’ils ne sont pas traités. Tous les bébés nés  [ lire la suite ]

25 - novembre - 2013
Conséquences de la réouverture de la zone interdite entourant la centrale nucléaire

A l’occasion de son passage à Paris, Cécile Asanuma-Brice, chercheuse associée à la Maison franco-japonaise de Tokyo et du LIA CNRS « Protection humaine et réponses au désastre », a été interviewée par Ruth Stegassy dans le cadre de l’émission Terre à terre sur France Culture. Cécile Asanuma-Brice nous confirme, entre autre, que les choses apprises par l’intelligentsia nucléaire sur le terrain de Tchernobyl pour normaliser les conséquences d’un accident sont bien à l’oeuvre à Fukushima.

12 - novembre - 2013
A Fukushima, les autorités prescrivent un retour au « pays natal »

Les administrateurs du désastre de Fukushima – Etat, réseaux interlopes, scientifiques, experts, contre-experts, mouvements citoyens et organisations non gouvernementales – sont devenus les cogestionnaires de dégâts en chaîne, chacun œuvrant au nom d’un intérêt supérieur hautement revendiqué : protéger. Que s’agissait-il de protéger cependant lorsque, en mai 2013, les décideurs ont achevé la réouverture des zones interdites ? Que protège-t-on en incitant les populations à revenir vivre sur des terres contaminées où le seuil d’inacceptabilité, fixé à 20 milliesieverts par an, est quatre fois supérieur à celui fixé à Tchernobyl – sans compter les « points-chauds » à plus de  [ lire la suite ]

12 - novembre - 2013
UNSCEAR

L’UNSCEAR (Comité scientifique des Nations Unies sur l’effet du rayonnement atomique) a récemment publié un rapport intitulé « Sources, effets et dangers des rayonnements ionisants » avec un accent particulier mis sur les niveaux et les effets de l’exposition aux radiations dues à l’accident nucléaire de Fukushima au Japon. Ce rapport a été critiqué par des experts médicaux. Dans cette vidéo, le Dr Alex Rosen, un pédiatre allemand membre d’IPPNW (Association Internationale des Médecins pour la Prévention de la Guerre Nucléaire), fustige la minimisation de l’impact de la radoactivité par l’UNSCEAR et le lobby nucléaire. Le Dr. Keith Baverstock, un ancien  [ lire la suite ]

22 - juin - 2013
Fukushima : le Japon rejette un rapport accablant de l’ONU

Le 27 mai, Anand Grover, rapporteur spécial du Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations unies, présentait à Genève les résultats de sa mission de novembre dernier à Fukushima. Une fois n’est pas coutume, les Nations unies ont fait leur travail : protéger. Ou, tout au moins, émettre la ferme intention de le faire. Voici les principales conclusions de ce rapport accablant pour le gouvernement japonais. Anand Grover prend acte de l’ampleur de la catastrophe : la quantité de césium relâchée suite à l’accident nucléaire de Fukushima est de l’ordre de 168 fois celle relâchée lors du bombardement atomique d’Hiroshima.  [ lire la suite ]

23 - mai - 2013
Madame Kowata devant son logement provisoire à Aizu Wakamatsu (Photo Thierry Ribault)

Les autorités vont rouvrir discrètement la zone interdite entourant la centrale nucléaire. Les réfugiés pourront retrouver leur domicile, à leurs risques et périls.   Au lendemain de l’accident de Fukushima, le 12 mars 2011, les 11 500 habitants d’Okuma sont évacués. Comme les 65 000 habitants des huit autres communes situées à moins de vingt kilomètres de la centrale. Accueillis en premier lieu dans des gymnases et des abris de fortune – ces réfugiés ayant été, pour nombre d’entre eux, contaminés –, ils sont ensuite relogés dans des lotissements publics de logements dits « provisoires ». Et puis le provisoire  [ lire la suite ]