Dans un article publié dans le quotidien genevois «Le Courrier», Alison Katz, membre d’IndenpendentWHO – Santé et Nucléaire, pointe l’invocation de la «radiophobie» pour expliquer les problèmes sanitaires des victimes d’accidents nucléaires, le recyclage douteux du «modèle Hiroshima» et le déni des effets de la radio-contamination à faible dose.