À 7H 30, le 26 avril 2007, Wladimir, Thérèse et moi, nous descendons du bus devant l’entrée principale de l’OMS. Nous portons sur le buste les slogans qui accusent l’Organisation Mondiale de la Santé d’être complice du crime de non assistance aux populations touchées par Tchernobyl. Nous nous plantons devant l’entrée, silencieux, immobiles. Nous sommes filmés par un caméraman de la télé suisse de Lugano. Les employés qui arrivent sont manifestement très surpris. Vers 9H, un policier se pointe. Il nous dit que nous ne sommes pas autorisés à demeurer là, que nous sommes sur un terrain privé. Nous lui [ lire la suite ]